L’instance faîtière de volley-ball togolais (FTVB), depuis deux (2) ans, traverse une période compliquée. Les activités se trouvent impactées. L’élection d’un nouveau président repoussée à une date ultérieure vient en rajouter davantage.
L’ambiance dans l’état-major des clubs est morose. A cause de ce qui se passe actuellement à la Fédération togolaise de volley-ball. La nouvelle élection s’annonce comme une messe de requiem à ce que certains n’hésitent pas à qualifier de crise.
Elu en mars 2013, le mandat d’Essossanneyou Ndadia est arrivé à terme en 2017. Une période de prolongation s’ouvre et dure. L’organisation d’une assemblée générale élective piétine de sorte qu’une partie du corps électoral commence à s’en inquiéter. Officiellement à la Fédération, on ne parle pas de crise. Du moins pour le moment.
C’est dans cette atmosphère lourde de méfiance qu’un congrès a été programmé. En effet, les responsables de clubs et de ligues de volley-ball ont été informés d’une assemblée générale qui devrait se tenir ce samedi 22 septembre à Lomé. La joie des potentiels électeurs a été de courte durée. ... suite de l'article sur Autre presse