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Les Commissions vérité, justice et réconciliation en Afrique

Publié le mercredi 26 septembre 2018  |  DW AFRIQUE
Concert
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
Concert dédicace du 4e Congrès panafricain du Renouveau charismatique catholique
Lomé, le 22 juillet 2018. Paroisse Marie Mère du Rédempteur. Concert dédicace du 4e Congrès panafricain du Renouveau charismatique catholique. Guest stars: Mgr Barrigah et le Choeur national Notre Dame de la louange.
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Depuis plus d’une vingtaine d’années, plusieurs pays africains ont expérimenté les commissions vérité, justice et réconciliation. But recherché : tenté de reconstruire des sociétés détruites par des cycles de violences tous azimuts, pour permettre aux populations d’assumer leur passé.


Au moins 32 commission vérités, justice et réconciliation ont été créées dans 28 pays, dont en Afrique et en Amérique latine, entre 1974 et 2007.

Aussi curieux que cela puisse-t-il paraître, la première structure du genre fut créée en 1974 par le défunt dictateur ougandais, Idi Amin Dada.

C’est l’Afrique du Sud qui a été le tout premier pays africain à en faire l’expérience, en avril 1994, un an après l’accession au pouvoir de Nelson Mandela, le héros de la lutte anti-apartheid. Par la suite, le modèle sud-africain a fait des émules sur le continent : la Côte d'Ivoire, le Mali, le Burundi, le Maroc, le Rwanda, entre autres.

Les commissions, vérité, justice et réconciliation, ont elles été utiles ? Eric Topona parle de cette problématique, sous l’Arbre à Palabres, avec ses invités :

- Mgr Jean-Louis Nahimana, président de la CVR, la Commission vérité et réconciliation du Burundi

- Me Yacouba Doumbia, le président du Mouvement Ivoirien pour les Droits de l'Homme (MIDH)

- Ousmane Oumarou Sidibé, président de la Commission vérité justice et Réconciliation (CVJR) du Mali

Et Lies Louw- Vaudran, chercheur à l'Institut sud-africain d'études de sécurité de Pretoria.

... suite de l'article sur Autre presse

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