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Togo : encore quelques couacs dans le recensement

Publié le mercredi 3 octobre 2018  |  Africa RDV
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© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
La CENI a organisé sur le site du CETEF Togo 2000 une opération de simulation du recensement en situation réelle
Lomé, le 23 septembre 2018. Site du CETEF Togo 2000. La CENI a organisé une opération de simulation du recensement en situation réelle. Pr Kodjona KADANGA, Président de la CENI, s’est prêté en premier à l’opération de simulation en étant le pétitionnaire zéro, c’est-à-dire la première personne qui a sollicité son inscription sur une liste électorale.
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Le recensement électoral se poursuit dans la première zone, telle définit par la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Seulement, au deuxième jour, des couacs persistent dans plusieurs centres de recensement et de votes (CRV).

C’est le cas des centres d’Adakpamé et Kanyi-Kopé, dans la banlieue Est de la capitale. Alertée, une équipe de Africa rendez-vous s’est dépêchée sur les lieux.

Tout se repose sur le kit de recensement qui se révèle défaillant dans son fonctionnement. Les adresses données par la population ne correspondent pas à ce qui s’affiche au final sur la carte.

L’adresse de Kanyi-kopé signalée, il ressort sur la carte, des quartiers tels Bè Dangbuipé, Bè Ahligo ou encore, Adankpo Kondji pour ne citer que ces noms.

Tel était aussi le cas au premier jour du recensement au Centre Bè Gare, où les habitants de Bè Hédzé et de Bè Adzrometi voyaient part contre sur leur carte, Bè Adakpamé s’afficher. La situation avait emmené les responsables des CRV à mettre en pause les travaux. 1 jour de moins si non, de perdu.

A Kanyi-Kopé, au lycée, le représentant du chef quartier, Koffi Ameledjisso, présent pour le compte du Comité listes et cartes (CLC) a dû intervenir mais, peine perdue. Les quelques rares qui étaient sortis pour se faire recenser ont dû rebrousser chemin.

Toujours dans ce quartier mais cette fois-ci, à l’école primaire publique (EPP), c’est un autre calvaire qui se résume à un manque d’électricité. «Pour sept (7) salles, seulement quatre (4) ont été libérées pour installer les kits mais aucune d’elles n’est alimentée par le courant électrique » , confie un opérateur de saisie (OPS) qui a réclamé l’anonymat. Aucun groupe électrogène disponible pour les travaux. Notre interlocuteur OPS indique que la doléance a été transmise à la CENI qui pourrait y apporter une solution dans les prochains jours.
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