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La Banque mondiale prévoit une croissance ralentie en Afrique subsaharienne

Publié le vendredi 5 octobre 2018  |  RFI
Lancement
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
Lancement officiel de la Revue du portefeuille et des JPO sur le partenariat entre le Togo et la Banque mondiale, partenariat vieux de plus de 50 ans
Lomé, le 19 juin 2018. Bureau de la Banque mondiale à Lomé (Cité OUA, Boulevard Gnassingbé Eyadèma, non loin de la Primature). «Ensemble transformons l’Afrique et le Togo en particulier»: principal thème autour duquel s’effectuent la Revue du portefeuille de la BM et des JPO (Journées portes ouvertes) que cette Banque organise conjointement avec le Gouvernement togolais les 19 et 20 juin pour promouvoir et renforcer les actions qu’elle soutient au Togo. Cette cérémonie de lancement officiel a été présidée par le Premier Ministre Selom KLASSOU, entouré pour la circonstance de Pierre LAPORTE (Directeur des opérations de la BM pour le Togo), Joëlle DEHASSE, Représentante Résidente de la BM au Togo, de ministres du Gouvernement, de Directeurs de cabinet, de sociétés et de plusieurs autres personnalités. Dans son discours d’ouverture, le Ministre de la Planification du Développement, Kossi ASSIMAIDOU, a dressé un bref bilan des interventions du Groupe de la Banque Mondiale au Togo. Un bilan aux «résultats tangibles dans différents secteurs tels: l’amélioration du cadre macro-économique, la lutte contre la pauvreté, la relance économique via des appuis budgétaires et le financement des projets».
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La Banque mondiale vient d’abaisser de 0,4 point ses prévisions de croissance économique pour l’Afrique subsaharienne en 2018, à 2,7% au lieu de 3,1% annoncé en avril dernier.


La lente reprise économique des poids lourds de l’Afrique subsaharienne que sont le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Angola affecte la croissance moyenne de cet ensemble, malgré de forts taux de croissance que vont enregistrer des pays comme la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, le Ghana, le Sénégal ou encore la Tanzanie.

C’est la chute des prix des matières premières en 2015 qui a plombé les économies des pays d’Afrique subsaharienne. Alors que ces pays ont été résilients après la crise économique de 2008, ils sont aujourd’hui plus affectés, en partie parce que les grandes économies ont du mal à améliorer leur productivité, ce qui les empêche de tirer toute la région vers le haut.
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