Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Affaire de sièges de l’opposition parlementaire à la CENI L’UFC et la C14 bientôt devant la Justice ?

Publié le mercredi 17 octobre 2018  |  Le Télégramme du Togo
Les
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
Les marches synchronisées de l`opposition dans la capitale n`ont pu se tenir ce mercredi
Lomé, le 06 juin 2018. Les marches synchronisées de l`opposition dans la capitale n`ont pu se tenir ce mercredi. Présence de forces de l`ordre aux points de départ des marches retenues par la Coalition, circulation fluide autour de ces points de départ, pas de regroupements de militants constatés. Jean-Pierre Fabre.
Comment


En tout cas, on peut comprendre que le parti de Gilchrist Olympio n’est pas prêt de lâcher l’affaire quant à ce qui concerne l’occupation des sièges des représentants de l’opposition parlementaire à la CENI.
Alors que la C14, au nom de la feuille de route de la CEDEAO et de l’accord trouvé avec UNIR à la suite du dialogue politique, croit être plus à même de pourvoir aux 5 sièges de l’opposition parlementaire à la CENI et dit ne pas être disposée à quelque discussion avec cet ancien principal parti de l’opposition togolaise en accord de gouvernement avec le parti au pouvoir depuis déjà 8 ans, l’UFC dont un représentant en la personne de M. Homawoo occupe depuis déjà une année un des sièges au sein de cette institution, est plus que jamais motivée à porter l’affaire devant la justice au cas où l’on voudra par la force déloger son représentant.
Intervenant sur le sujet, chez nos confrères de Nana Fm, la présidente du groupe parlementaire ANC et vice-présidente de ce même parti politique membre de la C14, Me Isabelle Manavi Améganvi, a simplement laissé entendre que « c’est l’UFC qui a menacé de nous attaquer en justice parce qu’ils ont cru devoir m’envoyer un courrier dans lequel l’UFC réclame non seulement une place au sein des partis de l’opposition parlementaire, mais soutient qu’elle a son mot à dire dans le choix des deux représentants des partis extra-parlementaires de l’opposition et du représentant de la société civile ».
... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo

Commentaires