Le Réseau des femmes africaines ministres et parlementaires du Togo (REFAMP-Togo) dit non aux violences dont les femmes sont victimes. Tout comme ces femmes togolaises issues de nombreuses organisations et sorties massivement le 04 octobre dernier pour dénoncer les violences et abus exercés sur leurs ‘‘sœurs’’, REFAMP-Togo dit constater « avec indignation » la recrudescence des actes avilissants à l’endroit de la gente féminine dans notre pays.
Tout en estimant que « l’image de la femme est mise à mal avec des viols et la publication des images qui exhibent la nudité de la femme sur les réseaux sociaux », cette organisation cite le cas de la vidéo dans laquelle on pouvait voir une femme victime d’une agression physique indescriptible et de viol insoutenable et qui malheureusement a fait le tour des réseaux sociaux.
«REFAMP-Togo tient à rappeler que ces actes graves et ignobles sont punissables par la loi. Il invite donc les autorités compétentes à mettre la main sur tous les auteurs de traitements inhumains et dégradants réservés aux femmes », peut-on lire dans un communiqué rendu public par ce réseau composé de femmes ministres et députés et signé de sa vice-présidente, Baloukina-Eza NIMON BATCHASSI.
REFAMP-Togo en appelle à toutes les organisations de défenses des droits de l’homme et à toutes les organisations de femmes, et les convie à mutualiser leurs actions afin de défendre les intérêts de la femme togolaise.... suite de l'article sur Autre presse