Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Elections législatives au Togo/ Fabre a son agenda

Publié le lundi 29 octobre 2018  |  Le Télégramme du Togo
Bilan
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
Bilan du jour 2 de la tentative de tenue de manifestation de rue étouffée de la Coalition des 14
Lomé, le 12 avril 2018. Siège de la CDPA à Akassimé. Conférence de presse de la coalition des 14 pour faire le bilan du jour 2 de sa tentative de tenue de manifestations de rue étouffée. La C14, par la voix de sa coordinatrice Adjamagbo-Johnson, "dit se mobiliser pour sa marche de samedi prochain". Durant cette 2ème journée de tentative de mobilisation, aucune ville du Togo n`a vécu de manifestation contrairement à la journée du mercredi. Jean-Pierre FABRE
Comment


Contrairement à la CENI qui joue à fond son rôle pour une tenue des élections législatives et locales en Décembre prochain au Togo, le Chef de file de l’opposition, président de l’ANC (Alliance Nationale pour le Changement) et député à l’Assemblée nationale togolaise, Jean-Pierre Fabre semble tenir son propre agenda.
Dans une interview à nos confrères de Jeune Afrique, l’opposant togolais a indiqué que ""s’agissant de la tenue des élections, je pense qu’elles n’auront pas lieu avant juin ou juillet 2019. La Ceni ne pourra pas les organiser avant"". C’est en tout cas son avis quand on sait que malgré l’appel au boycott fait par l’opposition, cette CENI amputée des membres de cette opposition, continue de dérouler son agenda et vient de finir le Recensement électoralet doit s’apprêter à lancer les appels à candidature pour les élections locales et les législatives.
Toutefois, continue M. Fabre, ""La CEDEAO a des normes et je doute que la Ceni puisse réussir. Tout ce que nous contestons et qui est à l’origine de la crise doit être réglé. Sinon il n’y aura pas d’élections. Nous ne courons pas après les sièges, mais nous travaillons à l’ancrage de la démocratie et de l’État de droit dans le pays"".
D’après le candidat malheureux à la présidentielle de 2015, d’après les résultats de la CENI confirmés par la Cour constitutionnelle, ""c’est la CEDEAO qui veut régler la crise togolaise à travers les législatives"" donc, c’est à elle qu’incombe ""le devoir de tout mettre en œuvre pour que les conditions de leur bon déroulement soient réunies"".
... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo

Commentaires