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Togo/ Un universitaire interpelle Dodzi Kokoroko sur son "titre de professeur titulaire"

Publié le lundi 29 octobre 2018  |  icilome
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© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Lancement du volet des réparations du HCRRUN
Lomé, le 24 mars 2017. Salle AGORA Senghor. Le HCRRUN lance le volet des réparations de ses activités, en présence du Premier ministre SELOM KLASSOU, de diplomates et de plusieurs autres officiels de la République. Pr Dodzi Kokoroko, Pdt de l`Université de Lomé.
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Le feuilleton juridique entre le président de l'Université de Lomé, Dodzi Kokoroko et son confrère, le Béninois Victor Topanou, ne cesse de révéler au monde universitaire des deux pays des faits inédits. La dernière, c'est l'interpellation d'un universitaire, sous forme de lettre ouverte M. Kokoroko, sur son titre de professeur titulaire en droit public et sciences politiques. Lisez plutôt !

LETTRE OUVERTE


Au Professeur Dodzi KOKOROKO,
Président de l’Université de Lomé


Mon cher Président,

Il est temps que vous puissiez dire à l’opinion et à la communauté universitaire si l’accusation d’usurpation du titre de professeur titulaire en droit public et sciences politiques lors de votre nomination par décret présidentiel relève d’une erreur administrative ou d’une volonté délibérée de tromper.

En effet, je suis rentré il y a quelques jours d’une mission de Cotonou et les discussions avec mes collègues du Bénin ont très vite été orientées vers la plainte en diffamation que vous avez portée à l’endroit de leur confrère béninois, M. Victor TOPANOU, Directeur de l’école doctorale des sciences juridiques, politiques et administrative. Les collègues béninois racontent que vous aviez porté plainte à Cotonou et à Calavi contre M. TOPANOU pour diffamation et les audiences étaient prévues les 17 et 19 octobre 2018. Le 17 octobre, ni vous ni vos représentants n’étaient présents à l’audience de Cotonou et dans la journée du 17 vous avez annulé la procédure en procédant, par voie d’huissier au retrait de la plainte. Ils se sont littéralement moqués en m’informant que vous aviez même envoyé un huissier pour rappeler à M. TOPANOU qui s’était procuré une copie de votre attestation de titularisation par le CAMES, qu’il s’agissait là d’un acte administratif individuel et personnel. Et vous avez de surcroit exigé toujours par voie d’huissier que M. TOPANOU vous dise comment il est entré en possession de votre attestation. Vous auriez même adressé au Secrétaire Général du CAMES un courrier dans ce sens, donnant alors l’impression de ne pas contester l’authenticité du document mais de vous focaliser sur l’origine de « la fuite ».
... suite de l'article sur Autre presse

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