Il sera les yeux et les oreilles du Togo à la Consultation africaine de la Société civile, une table ronde qui se tient à Mombasa au Kenya du 04 au 06 Novembre prochain, autour de de la question des droits aux libertés de manifestations, de réunion et d’association. Lui, c’est le président du MMLK, Pasteur Edoh Komi. L’homme séjourne dans la ville kenyane depuis hier Samedi, dans le cadre de cette assise.
En attendant les débats autour du sujet central, le MMLK se veut clair sur l’épineuse question des restrictions faites aux droits des libertés des peuples d’Afrique. « Les droits des peuples d’Afrique aux libertés générales qui sont des principaux fondamentaux de la dignité humaine, ne peuvent être guère négociés avec leurs dirigeants. Nous devons nous battre pour cela comme étant un objectif à atteindre. Car, les droits d’une personne humaine sont intrinsèquement liés à cette personne », c’est bien là une conviction de ce mouvement et de son président.
Dans la suite de son développement sur le sujet, Edoh Komi pense qu’avec une société civile forte et entreprenante portant l’espoir des peuples, « plus rien ne peut nous arrêtera ». «Pendant longtemps, nous sommes restés inactifs et muets sur les violations des droits des peuples et cela nourrit l’impunité des acteurs », poursuit-il avant de convier ses pairs à œuvrer pour dissuader ceux qui font obstacle à l’exercice de ce droit et mieux encore, « les pousser jusqu’au dernier retranchement ».... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo