Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Diaspora
Article
Diaspora

Togo : le vote de la diaspora sur liste d’attente

Publié le jeudi 8 novembre 2018  |  Jeune Afrique
Lancement
© aLome.com par Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU
Lancement du «Mois de la diaspora» organisé par le CJD autour du thème «Emigration, décentralisation et opportunités de développement»
Lomé, le 05 septembre 2018. Agora Senghor. Lancement du «Mois de la diaspora» organisé par le CJD autour du thème «Emigration, décentralisation et opportunités de développement». Il se déroulera du 05 septembre au 05 octobre 2018, avec au menu des communications, des conférence-débats, des rencontres avec les jeunes à travers tout le territoire, des émissions sur des radios et un gala de foot. Pour cette 1ère édition, 04 pays sont à l’honneur: Ghana, Gabon, Nigeria et Egypte. Les ambassadeurs des ces pays ont honoré de leur présence la cérémonie de lancement de ces rencontres entre des Togolais de la diaspora et ceux qui sont restés au pays. Ces Togolais vivant hors des frontières nationales sont estimés à plus d’un million et demi. Pacôme Yawovi Adjourouvi, Conseiller de Faure Gnassingbe.
Comment



Après le Mali, puis le Sénégal et le Burkina Faso, bientôt le Togo ? Comme un effet domino, le vote des diasporas, considéré à tort ou à raison comme une avancée démocratique, s’institutionnalise à travers les pays d’Afrique de l’Ouest.

Le Togo s’apprête à son tour à franchir le pas, après que le Burkina Faso en a entériné le principe dans sa dernière loi électorale. L’opposition togolaise n’attend que ça, confortée par la feuille de route de la Cedeao. Il reste maintenant à convaincre Faure Gnassingbé.

Le vote de la diaspora, s’il peut contribuer à aider le pays à sortir de la crise qu’il traverse depuis un peu plus d’un an, aura forcément un impact sur les résultats des élections. Ne serait-ce que par son importance. Le Sénégal a comptabilisé, d’un coup, 200 000 électeurs supplémentaires en 2012. Au Mali, les 265 000 inscrits de l’étranger pèsent aussi lourd qu’une région comme Gao. Au Burkina, ce sont quelque 3 millions de personnes recensées en Côte d’Ivoire qui devraient être autorisées à voter pour la présidentielle de 2020.


... suite de l'article sur Jeune Afrique

Commentaires