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Le Club de Paris appelle ses créanciers et emprunteurs à réfléchir pour prévenir de nouvelles crises de dette dans les pays en développement

Publié le vendredi 9 novembre 2018  |  Agence Ecofin
5ème
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
5ème séance plénière de la 2ème session ordinaire de l’Assemblée nationale consacrée au vote de la loi de finances rectificative, gestion 2017
Lomé, le 21 novembre 2017. La 5ème séance plénière de la 2ème Session ordinaire de l’Assemblée nationale a été consacrée au vote la loi de finances rectificative, gestion 2017. Avec ce vote, la loi de finances s’équilibre à 1.412 milliards en dépenses et en recettes contre 1.227 milliard initialement prévus. L’adoption de cette loi de finances rectificative ouvre la voie à l’étude du budget de l’Etat exercice 2018 dont les travaux en Commission commenceront incessamment. L`argentier du Togo, Sani Yaya.
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A la faveur de sa participation à la conférence organisée par l’Overseas Development Institute (ODI) sur la hausse de l’endettement en Afrique, tenue le 6 novembre 2018, à Londres, le Secrétariat général du Club de Paris a défendu sa nouvelle approche de coordination des créanciers officiels.

Intervenant lors de la session consacrée aux restructurations de la dette souveraine, le Secrétaire général, Isabelle Bui a, dans un premier temps, invité toutes les parties prenantes à savoir, les pays créanciers et les pays emprunteurs à un dialogue. Lequel « permettra de développer des analyses communes des risques actuels, mais également de réfléchir aux moyens de prévenir de nouvelles crises, en mettant en avant le travail réalisé ces dernières années par le Club de Paris ».

Avant de préciser que : «C’est notamment au sein de ce Forum qu’une première définition des principes de financement soutenable a été faite en 2016, conduisant à leur adoption en 2017, par les pays membres du G20».

Et que désormais, « la mise en œuvre de ces principes par l’ensemble des acteurs, créanciers officiels, créanciers privés et pays emprunteurs doit désormais être l’une des priorités de la communauté internationale afin de réduire les risques de nouvelle crise de dette dans les pays en développement ».

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