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L’Allemagne et l’Afrique en 1918

Publié le mercredi 14 novembre 2018  |  DW AFRIQUE
Commémoration
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Commémoration officielle au Togo de la journée de l’unité allemande
Lomé, le 03 octobre 2016. Jardins de l`Ambassade d`Allemagne au Togo. Le diplomate Christoph SANDER, devant un parterre d`officiels togolais, a vanté le renouveau dans la coopération Lomé-Berlin en 2016, tout en conviant le Togo à améliorer dans les mois et années à venir ses efforts en matière de gouvernance politique et économique.
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En novembre 1918 est signé l’armistice qui met fin à la Première guerre mondiale. Ses répercussions dépassent l'Europe.


Dans cette émission spéciale, nous revenons sur le vécu des soldats durant les combats, sur la fin de la guerre en Allemagne et en Europe mais aussi sur les répercussions du conflit en Afrique, et notamment dans les territoires qui, jusqu’en 1918, étaient des colonies allemandes et qui vont changer "de mains" dans un troc entre vainqueurs et perdants de la guerre, un troc de terres et de populations dont les effets se font encore aujourd’hui ressentir, en 2018, comme nous l’expliquera un historien camerounais. Nous irons aussi faire un tour au Togo, évoquerons l'Urundi et le Tanganyika. Et verrons quels mots allemands sont restés dans la langue kirundi.

Quinze millions de morts en quatre ans

Près de 40 Etats ont participé à la Première guerre mondiale. Plus de 60 millions de soldats se sont battus entre 1914 et 1918. Quinze millions sont morts.

Cette guerre modifie profondément le monde qui entre à ce moment-là dans une modernité terrible : les soldats qui partent au combat avec des casques à pointe, des baïonnettes, et même des uniformes rouges héritées du XIXè siècle pour les Français, font face à la fin de la guerre aux premières armes chimiques, aux premiers blindés.

Dans cette émission, le témoignage particulier mais éclairant d’un Poilu de l’armée française, Roger Cadot, remis en valeur grâce au soutien de la Fondation Töpfer, de l'Agence fédérale pour l'éducation civique (BpB) et aux Instituts français de Bonn et Hambourg.


La société allemande change : les femmes restées à l’arrière tandis que les hommes étaient au front font tourner l’industrie. Elles découvrent peu à peu qu’elles aussi peuvent assumer les responsabilités traditionnellement dédiées aux hommes. D’ailleurs, elles obtiennent le droit de vote juste après la guerre en Allemagne.
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