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Le Togo intègre au PND la lutte contre le changement climatique

Publié le jeudi 22 novembre 2018  |  Emergence Togo
Conférence
© aLome.com par Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU
Conférence de presse du parti de Gilchrist OLYMPIO pour réaffirmer son statut de parti d’opposition et, par ricochet, son droit d’être représenté à la CENI
Lomé, le 30 octobre 2018. Siège de l’UFC. Conférence de presse du parti de Gilchrist OLYMPIO pour réaffirmer son statut de parti d’opposition et, par ricochet, son droit d’être représenté à la CENI. L`UFC à travers la voix de ses premiers responsables a voulu briser le silence dans lequel il s’est muré depuis le début du débat concernant son appartenance ou non à l’opposition. Le parti n’est pas passé par quatre chemins pour réaffirmer «aujourd’hui son statut de parti d’opposition et, par ricochet, son droit inaliénable d’être représenté à la CENI», dans la perspective de l’organisation des prochaines législatives. Le parti se dit aussi prêt à participer à ces échéances. Le Ministre André JOHNSON, membre du bureau du parti «DETIA» dément les informations publiées par un journal de la place qui a affirmé il y a quelques jours que leur patron Gilchrist Olympio a été évacué en France pour des raisons sanitaires. Toutefois, le parti se dit prêt à démissionner de la CENI si la Facilitation dans la crise togolaise le lui demandait. Cette rencontre avec la presse a été animée par André JOHNSON, Pr Isaac TCHIAKPE et Dr Folly EKUE. Ministre André Johnson.
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Contribuer à la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière d’environnement à travers le respect des engagements pris par le Togo vis-à-vis de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) et aussi, planifier les actions en matière d’environnement et des actions de lutte contre les changements climatiques, c’est l’objectif du projet de préparation de la 4ème communication nationale et le 2ème rapport biennal actualisé du Togo sur les changements climatiques, lancé ce 20 novembre à Lomé par André Johnson, le ministre de l’Environnement et des ressources forestières.

Co-financé par le fonds pour l’environnement mondial (FEM) et l’Etat Togolais, ce projet intègre les changements climatiques dans les politiques nationales et sectorielles de développement pour un coût global de six cent soixante-deux millions quatre cent deux mille sept cent quatre-vingt-quatre francs CFA (662 402 784) avec une contribution du gouvernement à hauteur de 184 934 787 FCFA.

Pour André Johnson, «il s’agit d’assurer la continuité du processus de renforcement des capacités institutionnelles et techniques initiée et soutenue par les communications et rapports biennaux précédents».

La communication nationale et des rapports biennaux actualisés sur les changements climatiques permettent aux pays de disposer des informations pertinentes et fiables sur les circonstances nationales, la vulnérabilité, l’adaptation, les gaz à effet de serre ainsi que sur les politiques et les mesures à entreprendre pour atténuer ces émissions.

« Le choix du Togo d’intégrer la lutte contre les changements climatiques au PND 2018-2022 est à saluer. Alors, il aura le soutien du PNUD dans son engagement à lutter contre le changement climatique », a laissé entendre Damien MAMA, le représentant du PNUD.

Les changements climatiques résultent des effets combinés de processus naturels et des actions anthropiques qui ont une part importante dans les manifestations du phénomène. Il s’agit entre autres, des éléments des causes et des facteurs multiplicateurs des effets pervers des changements climatiques devenus aujourd’hui un défi de taille à relever pour assurer les conditions de vie saines aux populations, la croissance de l’économie nationale, et la protection du capital naturel.

Les manifestations des changements climatiques entraînent des conséquences importantes comme les inondations, la diminution de la pluviométrie, la désertification, l"appauvrissement des sols, l’accélération de l’érosion côtière, ce qui impactent la société et aussi, l’économie.

Pour rappel, le Togo a été victime des conséquences du changement climatique traduit par une série d’inondations en 2008, 2009 et 2010 dans presque toutes les régions économiques.



Charlespi Yao Yao

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