Après la suspension du processus de fusion, les parlementaires ont donné jeudi dernier leur feu vert pour la privatisation des deux dernières banques, majoritairement détenues par l’Etat. Si l’option de la privatisation a longtemps été éludée, elle refait surface, motivée par « la volonté du gouvernement de préserver la stabilité financière », son nouveau paradigme, visant à faire la part belle au secteur privé dans les investissements et le marché bancaire international qui présenterait, selon Sani Yaya, le ministre des finances, des conditions favorables.
Mais, que valent réellement l’Union togolaise de banque (UTB) et la Banque togolaise du commerce et de l’industrie (BTCI). Togo First s’est penché sur les bilans au 31 décembre 2017 de ces deux intermédiaires financiers.... suite de l'article sur Autre presse