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Togo : la principale coalition de l’opposition boycotte les législatives

Publié le mardi 27 novembre 2018  |  Jeune Afrique
Conférence
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
Conférence de presse du Gouvernement et sa majorité parlementaire pour se prononcer sur divers sujets de l’actualité nationale
Lomé, le 24 octobre 2018. Salle de conférence de la Sazof. Conférence de presse du Gouvernement et sa majorité parlementaire pour se prononcer sur divers sujets de l’actualité nationale. Le gouvernement togolais et le président du groupe parlementaire UNIR, majoritaire à l’Assemblée Nationale, ont donné des réponses à certaines questions que se posent des Togolais. Concernant la reprise ou non du processus du recensement, le Gouvernement semble catégorique : «Le recensement ne sera pas repris». De même, le gouvernement et sa majorité tiennent au 20 décembre 2018 pour la tenue des législatives. Réagissant au sujet des allégations d’enrôlement des mineurs, le Ministre BOUKPESSI de l’Administration Territoriale invite ceux qui en ont les preuves de saisir la CENI au moment de l’affichage des listes provisoires afin d’enrayer ces mineurs du fichier électoral.
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La coalition exige notamment la recomposition du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), ainsi que la reprise de toutes les activités préparatoires aux élections.

La principale coalition de l’opposition togolaise a annoncé qu’elle ne présentera pas de candidats aux élections législatives du 20 décembre. Elle appelle à de nouvelles manifestations pour dénoncer des irrégularités dans le processus électoral.

La Cour constitutionnelle a validé les listes de 12 partis et 17 autres listes provenant des candidats indépendants. La campagne électorale doit démarrer le 4 décembre.

Les 14 partis membres de la coalition à l’origine des manifestations secouant le pays depuis plus d’un an campent sur leurs positions. « Par tous moyens, nous ferons en sorte que ces législatives n’aient pas lieu. Nous ne voulons plus jamais d’élections frauduleuses au Togo », a déclaré lundi sur une radio locale Brigitte Adjamagbo-Johnson, coordinatrice de la coalition.

Nouvelles manifestations en perspective
« Nous n’allons pas donner notre bénédiction à la mascarade qui se prépare. Nous avons déjà saisi la Commission de la Commission économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao)« , instance régionale qui suit de près la crise politique togolaise, a-t-elle ajouté.

La principale coalition de l’opposition a appelé à deux nouvelles journées de manifestations, les 29 novembre et 1er décembre.

«Nous voulons simplement exercer notre droit constitutionnel, pour montrer que nous ne sommes pas d’accord », a précisé Brigitte Adjamagbo-Johnson.

L’opposition exige notamment la recomposition du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), ainsi que la reprise de toutes les activités préparatoires aux élections.

Mise en garde


La semaine dernière, le ministre de la Sécurité, le général Yark Damehame, avait mis en garde contre d’éventuelles violences visant à perturber le processus électoral.

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La C14 s`indigne de la manière dont la CEDEAO traite le peuple togolais (G. ATAKPAMA du Parti des Togolais)
Publié le: 19/11/2018  |  aLome.com Radio

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