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Constat de blocage à l’Assemblée

Publié le vendredi 30 novembre 2018  |  Republicoftogo
Conférence
© aLome.com par Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU
Conférence de presse de l`opposition parlementaire pour éclairer l`opinion nationale et internationale sur son retrait mercredi dernier des travaux en Commission sur les réformes.
Lomé, le 22 novembre 2018. Siège de la CDPA à Akassimé. Conférence de presse de l`opposition parlementaire pour éclairer l`opinion nationale et internationale sur son retrait mercredi dernier des travaux en Commission sur les réformes. L`opposition parlementaire s`est retirée de l`étude en commission des réformes pour "laisser au Gouvernement la pleine et entière responsabilité de l`aggravation de la crise politique togolaise", aux dires de ces opposants. Le texte soumis à l`examen ce mercredi a été "élaboré unilatéralement par le Gouvernement en dehors du dialogue et est une reprise du projet de loi du 5 septembre 2017", dénoncent ces opposants.
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Retour au point de départ. Le président de l’Assemblée nationale, Dama Dramani, a concédé vendredi que le Parlement se trouvait dans une situation assez similaire à celle de septembre 2017.

Le projet de loi sur les réformes constitutionnelles – qui contient notamment la limitation du mandat présidentiel – n’a pu être examiné vendredi en raison du boycott d’une partie des députés de l’opposition.

‘En septembre 2017, nous avions déjà adopté un texte aux 2/3 de la majorité qui devait conduire à un référendum. Les mêmes personnes qui n’ont pas accepté de s’associer pour que la réforme soit adoptée par voie parlementaire nous ont poussé à des négociations qui se poursuivent et le référendum n’a pu être organisé. Nous nous retrouvons dans le même situation aujourd’hui, a déploré M. Dramani.

Seuls 57 députés sur 91 étaient présents dans l’hémicycle ce matin.

Pour être adopté, le projet doit obtenir 4/5 des voix. A défaut, le chef de l’Etat peut appeler à un référendum.

La séance a été ajournée jusqu’à nouvel ordre.
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