Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Crise au Togo/ Répression des manifestants togolais à Paris : Voici le récit des faits

Publié le lundi 17 decembre 2018  |  Togo First
Concert
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Concert de l’ONG Afrik’Arch en vue de collecter des fonds dans un but caritatif
Lomé, le 18 août 2017. Stade omnisports de Lomé. Un parterre d’artistes chanteurs et comédiens togolais ont presté dans le cadre d’un concert organisé par "l’ONG Afrik’Arch". Des artistes venus de la Côte d’Ivoire et d’autres pays de la sous-région ont rehaussé l’éclat de la soirée par leur présence très appréciée par le public. Parmi les artistes qui ont marqué l’évènement, on peut citer Jimi Hope, Gohou Michel, Gogoligo et autres. Ce concert est le premier du genre organisé par l’ONG Afrik’Arch en Afrique en vue de collecter des fonds dans un but caritatif. L`ONG Afrik’Arch a été initiée depuis six (06) ans par la diaspora africaine, son siège se trouve à Paris.
Comment


Le samedi 15 décembre 2018, des togolais vivant en France se sont rassemblés devant l’ambassade du Togo en France pour manifester contre la tenue des élections le 20 décembre prochain. La manifestation a été violemment réprimée par la police française et on dénombre plusieurs blessés graves. Que s’est –il réellement passé ? Togotopinfos a recoupé plusieurs témoignages.

Les manifestants s’étaient regroupés aux alentours de l’ambassade du Togo dans le 17ème arrondissement à Paris, sur instigation de « Coditogo »une association de la société civile togolaise, pour s’opposer aux conditions d’organisation des élections législatives prévues pour le 20 décembre prochain.

Alors que les togolais étaient postés sur la voie publique arborant des banderoles et scandant des chants patriotiques, des forces de l’ordre français, en grand nombre, se sont violemment invités à la célébration. Les policiers postés devant l’ambassade, se sont, rués sur les manifestants avec une rare violence, faisant usage de matraques et de gaz lacrymogènes pour repousser le groupe de manifestants. La répression aurait duré environ une demi heure.
... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires