Affaire des fouilles corporelles à la prison civile de Lomé/ Le Directeur de l’Administration pénitentiaire et de la Réinsertion, Idrissou Akibou, se livre...

Publié le mardi 29 janvier 2019 | Le Télégramme du Togo

© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Le GAAT a fait don d’une bibliothèque à la brigade pour mineurs de Lomé
Lomé, ce 16 novembre 2016. Le GAAT (Global Alumni Association of Togo) a fait don d’une bibliothèque à la brigade pour mineurs de Lomé. Cette bibliothèque d’un coût total de 590.000 francs CFA a été réceptionnée par le directeur des services pénitenciers IDRISSOU Nikabou, en présence du Chargé des affaires publiques de l’Ambassade des USA au Togo, Mike PRYOR et du président du GAAT, Sylvio COMBEY. M. Nikabou a remercié les donateurs et souhaité que ce geste soit complété par des livres. La bibliothèque a été réalisée par un ex détenu Nestor KPAPKO devenu menuisier après sa sortie de prison. Ce don permettra aux enfants en conflit avec la loi de ne pas désapprendre, mais de toujours rester connectés au monde livresque. IDRISSOU Nikabou, directeur des services pénitenciers.

Passant devant les députés Vendredi après-midi, pour la présentation de son programme, le Premier ministre Sélom Komi Klassou a promis que les auteurs de ces fouilles corporelles ou encore les coupables dans cette affaire seront cherchés et retrouvés et pourront être punis par la loi.

Quelques heures avant le P.M et au détour d’une rencontre des acteurs devant aider à apporter des solutions aux difficultés rencontrées dans le milieu carcéral togolais, rencontre organisée par le consortium Handicap International-Village Renaissance-ANASAP, et précisément dans le cadre du Programme d’Appui au Secteur de la Justice (PASJ), c’est le Directeur de l’Administration pénitentiaire et de la Réinsertion, Idrissou Akibou, qui a souhaité aborder l’affaire des fouilles corporelles à la prison civile de Lomé, en se confiant à un de nos reporters.

Des dires de M. Akibou, ""il n’y a pas eu d’instruction qui soit donnée à qui que ce soit pour une fouille corporelle. Les fouilles se font par palpation"". ""Si on est arrivé à cet incident, c’est malheureux"", regrette le premier responsable de l’Administration pénitentiaire, qui a toute rassuré que ""les enquêtes ont été ouvertes pour situer les responsabilités afin de sanctionner les éléments ou les agents qui ont été négligeant dans l’exécution de leur mission"" ... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo

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