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Les emprunts des pays africains auprès des banques commerciales internationales sont annoncés à la baisse au cours de l’année 2019

Publié le vendredi 1 mars 2019  |  Agence Ecofin
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© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
La MCC a signé avec le Togo ce jeudi l`accord pour un nouveau "Programme Seuil" d`une valeur de 35 millions de dollars US
Lomé, le 14 février 2019. Salle de conférence de la Primature. La MCC a signé avec le Togo ce jeudi l`accord pour un nouveau "Programme Seuil" d`une valeur de 35 millions de dollars US. Cet accord pour un nouveau "Programme Seuil" entre le MCC et le Togo sera consacré à l`amélioration de l`accès aux TIC et l`opérationnalisation de la réforme foncière. Ce Programme couvrira une période de 04 ans. La cérémonie de signature a été présidée par le Premier Ministre togolais Komi Selom KLASSOU, en présence de l’ambassadeur des USA près la République du Togo, David GILMOUR. La délégation américaine a été conduite par Cynthia HUGER, vice-présidente de la MCC. Ministre Sani Yaya de l`Economie
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Le recours des gouvernements d’Afrique à des emprunts auprès de banques commerciales internationales devrait ralentir au cours de l’année 2019, estime Standard & Poor’s. L’agence américaine de notation s’attend à ce que les 18 pays qu’elle note dans la région, sollicitent des prêts commerciaux pour seulement 55 milliards $, soit 10 milliards $ de moins qu’en 2018.


«Historiquement, l’Angola et l’Afrique du sud sont deux gros emprunteurs africains. Un faible niveau du rand et du kwanza par rapport au dollar, réduiront leurs besoins par rapport à la devise américaine », explique l’institution. Elle ajoute aussi que la réduction du gap de financement dans le budget du Nigéria devrait limiter ses interventions sur le marché international des prêts.


Pareillement, Standard & Poors prévoit que les émissions d’obligations souveraines africaines se maintiendront à un certain niveau, malgré le durcissement anticipé des conditions du marché.

Une hypothèse que partage aussi l’américain Citi, leader sur le marché des capitaux en Afrique subsaharienne, voit sous un angle différent. Le groupe bancaire pose comme réflexion de base que le maintien à un niveau élevé des prix du pétrole permettra à deux des principaux émetteurs d’obligations internationales africaines (Nigéria et Angola), de connaître un renforcement de leurs équilibres budgétaires. Toutefois cela ne devrait pas apporter des changements majeurs à leurs déséquilibres extérieurs, même si c’est dans une moindre proportion pour le Nigeria.

Les pays d’Afrique notamment subsaharienne, dont les monnaies sont soumises aux taux des marchés, ont du puiser dans leurs réserves extérieures ou recourir au FMI, pour limiter de grosses dévaluations. Mais les équilibres retrouvés demeurent fragiles
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