Kossi Aboka : «L’école n’est pas un marché»

Publié le lundi 4 mars 2019 | Togo Top News

© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Législatives 2018: La Cour constitutionnelle publie les résultats définitifs qui consacrent la domination d`UNIR
Lomé, le 31 décembre 2018. CITE OUA. La Cour constitutionnelle publie les résultats définitifs des législatives 2018 qui consacrent la domination d`UNIR sur la 6è législature de la IVè République. UNIR (59 sièges) et UFC (7 sièges) seront les deux principales forces du Parlement, en attendant d`éventuelles alliances politiques. Kossi A. Aboka, nouveau député UNIR.

La délégation spéciale de la préfecture du Golfe poursuit ces travaux de réaménagements dans le Grand Lomé. Les membres de la délégation étaient ce jeudi 01 mars 2019 à l’EPP Woynomé à Adidogomé pour dégager les baraques, conteneurs et hangars installés le long du domaine dudit établissement.

L’opération fait suite à une plainte des parents d’élèves de l’EPP Woynomé auprès du ministère de l’Enseignement primaire et secondaire, de la vente des liqueurs, boissons et drogues par les propriétaires des baraques environnantes aux élèves.

Les écoles, selon le président de la délégation spéciale de la préfecture du Golfe, Kossi Aboka, sont envahi par les conteneurs, les baraques et ce fait est observée aujourd’hui partout dans le Grand Lomé.

«Cette situation a amené les parents d’élèves à se plaindre auprès du ministère et nous avons été saisi par le ministère pour enlever tous ces baraques et conteneurs qui sont dans les environs des écoles et qui sont des lieux de vente de l’alcool et de la drogue pour les élèves. L’école est un lieu où on enseigne, où on éduque les enfants. L’école n’est pas un marché», a-t-il précisé.

Ainsi, le président de la délégation spéciale de la préfecture du Golfe lance un appel aux citoyens désirant vendre de rejoindre les marchés construits dans les quartiers et de laisser les écoles pour l’éducation des enfants. « Nous demandons à tous ceux qui veulent vendre, que soit, ils louent des boutiques ou bien, ils vont dans les marchés pour laisser les emprises des voies libres», a indiqué Kossi Aboka. ... suite de l'article sur Autre presse

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