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Actes inciviques: La délégation spéciale passe aux sanctions

Publié le mercredi 13 mars 2019  |  Togo Top News
Etude
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Etude du budget des préfectures du Golfe et d’Agoènyivé, exercice 2019 : une ligne de ce budget est réservée à la construction des passerelles sur quelques grands boulevards de la capitale
Lomé, le 11 mars 2019. Salle de conférence de la Préfecture du Golfe. Etude du budget des préfectures du Golfe et d’Agoè-Nyivé, exercice 2019 : une ligne de ce budget est réservée à la construction des passerelles sur quelques grands boulevards de la capitale. Les délégués spéciaux des préfectures du Golfe et d’Agoènyivé sont en discussion depuis ce lundi pour adopter la loi des finances, exercice 2019 des deux préfectures.
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Après les sensibilisations, la délégation spéciale de la préfecture du Golfe entame la phase des sanctions des actes inciviques en matière d’assainissement et de protection de l’environnement. L’information a été portée à la connaissance des professionnelles de medias et des populations ce mardi 12 mars 2019 à Lomé.

Selon le président de la délégation spéciale de la préfecture du Golfe, Kossi Aboka, bon nombre de togolais surtout de la capitale continu d’adopter des comportements inciviques malgré les sensibilisations.

«Les rues togolaises continuent d’être parsemées de sachets noires et de pure water. Les égouts sont remplis de déchets de tout bord et les responsables sont des citoyens insoucieux du danger que représente ces sachets non biodégradables», a-t-il déploré.

Ainsi, poursuit le président de la délégation spéciale de la préfecture du Golfe, les actes inciviques entre autres le rejet des eaux usés sur la voie publique, la vente d’aliments ou produits périmés, les maisons sans latrines, la création des dépotoirs sauvages sont désormais amendés.

«Le rejet des eaux usées sur la voie publique est puni d’une amende de 5.000 FCFA, le rejet des eaux usées sur la voie publique par les sociétés est puni d’une amende de 100.000 FCFA, l’enfouissement des excréments humains aux lieux non autorisés, 50.000 à 200.000 FCFA d’amende. La vente d’aliments ou produits périmés, 10.000 à 500.000 FCFA ; les maisons sans latrines de 50.000 à 200.000 FCFA ; la vente de l’eau de qualité douteuse 20.000 à 1.000.000 FCFA ; la création des dépotoirs sauvages 200.000 à 5;000.000 FCFA. Le certificat de salubrité périmé 50.000 à 100.000 FCFA ; l’élevage de porc en milieu urbain 200.000 à 500.000 FCFA ; le défaut de carte professionnelle de santé, 5000 à 10.000 FCFA», a précisé Kossi Aboka.
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