«Si l’Occident injecte de l’argent en Afrique par le biais des IDE, des importations et de l’aide au développement, le continent est en situation de créancier net par rapport au reste du monde une fois les flux financiers illégaux intégrés aux études», indique Global Financial Integrity dans son rapport du 12 décembre 2013 sur l’année 2011. De 2002 à 2011, le Togo a permis des fuites de capitaux, mais cet état de chose est allé crescendo depuis l’avènement de Faure Gnassingbé et les chiffres qui ont connu des augmentations inquiétantes depuis 2005, ont atteint leur faîte en 2008. Une situation qui explique la situation de pauvreté ambiante des citoyens eu égard au pourcentage de cette fuite par rapport aux budgets.