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Tikpi Atchadam : « L’urgence, c’est comment se débarrasser de cette dictature… »

Publié le mercredi 10 avril 2019  |  icilome
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© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
1er meeting géant du PNP dans la capitale togolaise
Lomé, le 02 juillet 2017. Stade de football d`Agoè. 1er meeting géant du PNP dans la capitale togolaise. Cette formation appelle à la fin de toutes formes d`injustice sociale et politique au Togo, et promet incessamment une "véritable procession de pacifistes" pour dénoncer et amener les Togolais à mettre fin à ces maux. Tikpi ATCHADAM, leader du PNP, prône une nouvelle forme de discours politique au Togo.
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Les dissensions, la guerre de personne, les problèmes d’argent, bref, les difficultés au sein de la Coalition des 14 partis de l’opposition, aujourd’hui en lambeaux, ne semblent pas préoccuper le président du Parti national panafricain (PNP). Ce qui intéresse Tikpi Atchadam, c’est d'arriver à se débarrasser de la dictature cinquantenaire qui régente le Togo depuis plus d’un demi-siècle. C’est pourquoi à la veille des manifestations de ce samedi 13 avril qui seront organisées dans plusieurs villes du pays et dans la diaspora, il fait une sortie pour galvaniser les populations.


Dans un audio de 29 minutes qui circule déjà sur les réseaux sociaux, le leader du PNP appelle les Togolais à sortir massivement pour les manifestations de ce samedi 13 avril 2019. « Ditri Bonsafo », c’est le nom qu’il donne à cette opération qui doit être une grande réussite ce samedi.

« L’attitude de Faure, son rapport au pouvoir et son désir de s’éterniser au pouvoir, pendant qu’il prépare un petit-frère ou une petite-sœur, constitue une insulte grave et un affront à la mémoire de ceux qui se sont battus pour l’indépendance de notre pays, aux fonctionnaires, aux paysans, aux étudiants et aux élèves, aux professeurs et enseignants, aux magistrats, aux avocats, aux commerçants et aux transporteurs, aux femmes, aux jeunes, à la chefferie traditionnelle, à la police nationale, à la gendarmerie nationale, à l’armée, une insulte et un affront à notre moi collectif », a-t-il indiqué.
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