Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Francis Ekon : « Une des façons de faire en sorte que ce peuple puisse revoir son orientation, c’est une meilleure redistribution de la richesse nationale »

Publié le lundi 15 avril 2019  |  icilome
Naissance
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
Naissance d’un nouveau groupement de partis politiques dénommé «les Centristes»
Lomé, le 13 avril 2018. Hôtel Concorde. Naissance d’un nouveau groupement de partis politiques dénommé «les Centristes». Il regroupe trois partis d`opposition, à savoir le PDP, le NET et la CPP. Au cours d’une rencontre avec la presse, les responsables de ce regroupement ont rendu public un mémorandum de trois points, proposant notamment l’adoption d’une nouvelle Constitution qui conserverait les fondamentaux de celle de 1992; l’amélioration du cadre électoral et proposer que la question d’une éventuelle candidature de Faure GNASSINGBE en 2020 fasse l’objet d’un consensus politique, en dehors des discussions relatives aux réformes. Occasion pour le président du CPP, Francis ECKON, d’exprimer son pessimisme quant à l’issue du 27ème dialogue intertogolais. Le leitmotiv des «Centristes» est de combattre l’"extrémisme" des deux parties au dialogue depuis février 2018. Francis EKON de la CPP
Comment


Afin d’aider les jeunes des préfectures de Binah, Kozah, Dankpen, Kloto, Agou, Yoto, Avé et du Grand-Lomé à mieux cerner les enjeux autour de la décentralisation à l’approche des élections locales qui s’annoncent, le leader du parti Convergence patriotique panafricaine (CPP), Francis Ekon et ses collaborateurs ont initié une formation qui a été assurée par Ouro-Bossi Tchakondo, un expert en décentralisation et en développement local à l’endroit des jeunes, des partis politiques et des organisations de la société civile.

« Nous avons toujours organisé des formations qui sont ouvertes mêmes aux jeunes des autres partis politiques ou de la société civile. C’est ce que nous faisons encore aujourd’hui. Depuis des décennies, il n’y a pas eu d’organisation d’élections locales. Les jeunes universitaires qui sont aujourd’hui avec nous ne savent pas de quoi ils retournent lorsqu’on parle de la municipalité et de la gestion des préfectures etc…Une fois sorti de cette formation, ces jeunes seront capables d’aller expliquer à leurs semblables la décentralisation », a confié Francis Ekon, président du CPP.

On pourrait croire que l’acteur politique et son parti se préparent pour les élections locales, mais il assure que cette initiative n’émane pas des intérêts partisans et personnels. Pour lui, le dialogue sera plus facile si les jeunes sont formés.
... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires