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Libre opinion / À 12 mois de la présidentielle Appel aux activistes politiques togolais : plaidoyer pour une charte ou un code de conduite

Publié le jeudi 25 avril 2019  |  Le Télégramme du Togo
Législatives
© aLome.com par Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU
Législatives 2018 au Togo: Ouverture des bureaux de vote dans le calme dans l`ensemble, la circulation est quasi inexistante sur les principales artères de la capitale togolaise
Lomé, le 20 décembre 2018. Scrutin législatif au Togo. Ouverture des bureaux de vote dans le calme dans l`ensemble, la circulation est quasi inexistante sur les principales artères de la capitale togolaise. Le chef de la Mission d`observation de l`UA au Togo, l`ex PM congolais Matata Ponyo Mapon, en visite dans des bureaux de vote dans le nord de la capitale togolaise, à Agoè.
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« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir ». Frantz Fanon, Les Damnés de la Terre (1961).
D’abord quelques définitions, puisées dans le New York Times.
Un « activiste » est un individu qui s’organise et agit dans la poursuite d’un objectif en lien avec le changement d’une politique ou d’une loi donnée.
Un « activiste politique » est un individu qui s’implique dans la vie politique afin de promouvoir, de réduire ou d’accroître une prise de conscience autour d’un sujet ou d’un ensemble de sujets.
Un « politicien » est un individu en quête d’un mandat à un poste électif sur la base d’une idéologie ou d’un programme précis qu’il s’engage à mettre en œuvre.
Ensuite le nœud du problème...
Au lendemain des législatives du 20 décembre 2018, l’un des espoirs que l’on avait formulés était que le taux d’abstention record soit traduit (par tous les partisans de l’alternance) en un facteur d’une plus grande mobilisation populaire, étape nécessaire pour l’aboutissement de la lutte pour l’alternance politique.
C’était malheureusement sans compter sur les sempiternelles querelles d’égo entre les responsables politiques, leur recherche des boucs émissaires et leur ridicule fuite de responsabilité. Conséquence : la C14 a implosé, donnant lieu à des affrontements verbaux non seulement entre les responsables politiques et leurs militants, mais aussi entre les activistes qui à un moment ou à un autre, ont défendu des positions favorables à un parti ou à un autre, à un responsable politique ou à un autre. À tel point que l’objectif principal qu’est la mise en commun des efforts pour l’alternance politique a été relégué aux oubliettes.
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