Togo - C’est le 12 février prochain qu’Olivier Amah Poko saura s’il sera mis en liberté provisoire ou pas. C’est ce que vient de décider la cour d’appel de Lomé après 7 mois de détention de l’ancien officier des forces armées togolaises Olvier Poko Amah dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat.
Amené sous bonne escorte de la prison civile d’Atakpamé où il est détenu, le commandant Olivier Amah doit regagner sa prison alors que ses sympathisants qui ont fait le déplacement de la cour de justice s’attendaient à sa libération provisoire.
Un affrontement s’en est suivi entre la foule et les forces de l’ordre » et de sécurité déployées sur les lieux. Selon les informations parvenues à l’Agence Afreepress, les forces de l’ordre ont usé de gaz lacrymogènes pour disperser les mouvements spontanés.
A en croire le collectif d’avocats commis par Olivier Poko Amah, collectif à la tête de laquelle se trouve Me Zeus Ajavon, « cette affaire est politique ».