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Togo-Restriction à la liberté de manifestation: Nakpa Polo veut situer les responsabilités

Publié le mercredi 15 mai 2019  |  Societe civile media
Célébration
© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Célébration de la Journée mondiale de la femme par la gent féminine du parti UNIR
Lomé le 07 mars 2018. Restaurant Factory à Avenou. Célébration de la Journée mondiale de la femme. Les femmes du parti au pouvoir réunies au sein du Mouvement des Femmes UNIR (MFU) ont décidé de célébrer la Journée mondiale de la femme d’une manière anticipée. Elles l’ont fait à travers une conférence-débat autour du thème principal intitulé "Femme UNIR, engage-toi dans le processus de décentralisation de ton milieu". Par ce thème, les premières responsables du MFU entendent lancer un appel à nos mères et épouses pour un engagement dans la politique, terrain trop souvent occupé par les hommes au Togo. Selon la déléguée nationale du MFU, R. Kayi Lawson de Souza, ses «sœurs Togolaises semblent trop timides». Elle les exhorte à plus d’action! Elles étaient nombreuses de tout âge et issues de toutes les couches sociales à participer à cette rencontre de partage : ministres, députées, employées ou cadres du secteur public et privé. La ministre N. Polo.
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La question préoccupe de nombreuses organisations togolaises de défense des droits de l’homme. Le Panel Watch est d’ailleurs revenu sur le sujet au cours d’un cocktail d’échange avec les médias organisé le 17 avril dernier. Il s’agit de la restriction à la liberté de manifestation constatée ces derniers temps au Togo.

Cette liberté de manifestation, selon certains acteurs, est en train de devenir une exception et fait place à des restrictions qui ne se font pas dans le cadre prévu par la loi.

Interrogé sur le sujet ce mardi à Lomé lors d’une rencontre avec les organisations de défense des droits humains, Nakpa Polo, la présidente de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), dit avoir fait le même constat. Toutefois, l’ancienne Secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme estime que ces malentendus sont liés à un problème d’interprétation des textes.

«Voilà pourquoi nous envisageons organiser un atelier à l’intention de tous les acteurs sur la loi de 2011 pour situer les responsabilités aussi bien des manifestants que des autorités», a annoncé la présidente de la CNDH qui n’a toutefois pas donné de précision sur la date de cet atelier.
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