Accès équitable à la terre : Konrad Adenauer et Wildaf-Togo mutualisent les énergies

Publié le mercredi 29 mai 2019 | Togo Top News

© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Echanges croisés entre journalistes et communicateurs ouest-africains autour du phénomène de la dégradation des terres
Lomé, du 3 au 7 octobre 2016. Hôtel IBIS. Atelier sous-régional de renforcement des capacités des hommes et femmes de média et de communicateurs sur la thématique de Gestion Durable des Terres et des Eaux (GDTE) dans les pays SAWAP (Programme de la Banque Mondiale/FEM pour le Sahel et l’Afrique de l’Ouest -Sahel and West Africa Programme-). Atelier pratique s`inscrivant dans le cadre de la mise en oeuvre du BRICKS (Projet de Renforcement de la résilience par le biais de services liés à l’innovation, à la communication et aux connaissances) par le CILSS, l`OSS et l`UICN-PACO.

Instaurer une équité dans l'accès au foncier et dans le partage des biens de production, Konrad Adenauer en partenariat avec Wildaf-Togo sont à pied d'œuvre. À Kara depuis lundi 27 mai, ils forment trente femmes du secteur agricole.

Cette session est organisée dans le cadre du projet "Accès de la femme à la terre au Togo". Elle va outiller ces femmes bénéficiaires sur les rouages des politiques agricoles du pays et des "opportunités à saisir dans le projet des agropoles et autres".

Les agricultrices togolaises malgré leurs efforts ont du mal à atteindre leur autonomie financière. C'est dans le souci de réparer cette faille que les deux organisations veulent les fournir les informations nécessaires pour qu'elles ne restent pas en marge.

«Le président de la République est en train de faire du Togo une plaque tournante de l'économie dans la sous-région et les femmes ne doivent pas rester en marge de cette dynamique », a souhaité Mme Ane Kpedji, représentante du Wildaf-Togo à l'ouverture.

Elle rappelle que beaucoup de dispositions sont prises vis-à-vis du monde rural avec le plan national de développement (PND) et qu'il s'agit d' " opportunités à saisir par les femmes".

Au Togo plus de la moitié des femmes des savanes et de la Kara vivent du travail de la terre. La durée de la formation est de trois jours et elle prend fin mercredi.

Eyram Denise ... suite de l'article sur Autre presse

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