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Exercice de simulation pour les pays membres de l’UNREC

Publié le jeudi 30 mai 2019  |  Radio Lomé
Cérémonie
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Cérémonie de remise officielle des nouveaux locaux de l’UNREC et du lancement du projet onusien de marquage des armes au Togo et à Madagascar
Lomé, le 05 juillet 2018. Agbalépédogan, grand carrefour GTA. Cérémonie de remise officielle des nouveaux locaux de l’UNREC (Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement en Afrique) et du lancement du projet onusien de marquage des armes au Togo et à Madagascar. Une cérémonie présidée côté togolais par le Gal Yark Damehame et côté onusien par Mme Izumi NAKAMITSU, Haute représentante des Nations Unies pour les affaires de désarmement.
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Le Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement en Afrique (UNREC) et ses partenaires, organisent en collaboration avec la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS) un exercice de simulation pour les États francophones d’Afrique de l’Ouest, membres de la Convention sur l’Interdiction des Armes Biologiques (CIAB). L’activité se déroule au siège de l’UNREC, à Lomé du 29 au 30 mai 2019.

L’atelier, organisé autour de l’article VII de la convention, a pour objectif d’explorer l’opérationnalisation de l’assistance aux victimes en cas d’exposition d’un État partie à un danger par suite d’une violation de ses dispositions. L’exercice vise à permettre aux participants de formuler des recommandations qui alimenteront les discussions de la réunion d’expert sur l’assistance, la réaction et la préparation prévue pour le 6 et 7 août 2019 à Genève.

L’article VII de la convention sur les armes biologiques exige que les États parties aident les États qui ont été exposés à un danger en raison d’une violation de la convention. A ce jour, ces dispositions n’ont pas été invoquées.

Le renforcement des capacités en matière de détection, de rapportage et de réaction en cas d’épidémies infectieuses ou d’attaques par armes biologiques, y compris dans les domaines de la préparation, de la gestion des crises et de la mitigation de leurs effets, est un sujet à aborder dans le cadre de l’ordre du jour permanent de l’assistance et de la coopération.

Selon M. Yann HWANG, président en exercice de la réunion des États parties à la CIAB, l’organe est entré en vigueur le 26 mars 1975. Cet instrument, qui à ce jour compte 182 États parties, oblige ceux-ci de «ne jamais, et en aucune circonstance, mettre au point, fabriquer, stocker, ni acquérir d’une manière ou d’une autre ni conserver» des armes biologiques ou à toxines.

L’activité réunit une trentaine d’experts et représentants officiels du Bénin, Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et du Togo, ainsi que des experts des Nations Unies, des organisations régionales et du monde universitaire.
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