Après sa bourde médiatique suite au décès de Douti Sinanlengue, Me Yacoubou Hamadou, ministre de son état, n’est pas près de changer. « Parler d’achats de consciences, c’est porter des injures gravissimes à l’endroit des populations ». Ces propos, vous vous en doutez peut-être, sont de cet ex-droitdelhommiste devenu un ardent défenseur de la dictature rampante. Là, il tentait, sur une radio privée de la place, en dépit des preuves qui existent, de donner une réplique à l’opposition qui accuse l’UNIR d’avoir recouru à des achats massifs de consciences. Serait-il un pécheur impénitent, un mythomane incurable ?