Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Le PNP réagit suite aux violences exercées sur ses militants à Mango par les forces de l’ordre

Publié le mercredi 18 septembre 2019  |  icilome
Le
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Le PNP situe l`opinion nationale et internationale sur les dernières évolutions de l`actu politique au Togo
Lomé, le 07 mars 2019. Quartier Agoè. Siège national du PNP. Le PNP situe l`opinion nationale et internationale sur les dernières évolutions de l`actu politique au Togo. La formation de T. Atchadam exige à nouveau l`effectivité du droit de vote de la diaspora avant toute élection au Togo, la liberté de mouvement et la sécurité pour son leader. Elle exige aussi la fin du harcèlement quotidien contre ses militants et sympathisants, et réaffirme qu`elle n`a d`adversaire que UNIR.
Comment


La section de Mango était en réunion dans la ville le samedi 15 septembre dernier. Mais les militants du Parti national panafricain (PNP) n’ont pu terminer la rencontre. Ils ont été interrompus et violentés par les forces de l’ordre et de sécurité, venues les disperser à coup de grenades lacrymogènes.

Dans un communiqué rendu public, le parti de Tikpi Atchadam dit condamner ces violences faites à ses militants et appelle l’opinion nationale et internationale à témoin.

«Le parti national panafricain ne se lassera jamais de dénoncer, de condamner et d’exposer à la face du monde entier ce déni des libertés individuelles et collectives de la part d’une dictature cinquantenaire », indique le communiqué.

Pour ce parti de l’opposition, ces comportements des forces de défense et de sécurité à l’égard du parti renseignent à suffisance sur l’état des libertés au Togo.

«Le PNP tient à rappeler au pouvoir que de tels agissements n’entament en rien la détermination du peuple togolais tout entier décidé à obtenir la première alternance dans notre pays le Togo», poursuit le communiqué.

Rappelant que la ville de Mango, comme Bafilo et Sokodé, est toujours en état de siège militaire, le parti dit condamner avec la dernière rigueur cette illégalité et cet acharnement que rien ne justifie.


Nicolas K.



... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires