L’intervention des Rapporteurs spéciaux du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU sur la modification de la loi du 16 mai 2011 relative aux conditions d’exercice de la liberté de réunion et de manifestation au Togo, a suscité la réaction de bon nombre d’observateurs et d’acteurs de la société civile.
Dans une lettre adressée au ministre en charge de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpéssi, la Convention Républicaine pour l’Apaisement et la Réconciliation au Togo (CRART) a salué l’intervention du conseil des Droits de l’Homme de l’ONU qui a demandé à l’Etat togolais de faire une nouvelle délibération de ladite loi. ... suite de l'article sur Autre presse