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6ème édition de la concertation de haut niveau sur une transhumance transfrontalière apaisée: Koutéra BATAKA prend part aux travaux à Accra

Publié le jeudi 10 octobre 2019  |  Ma Nation Togo
Elevage
© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Elevage d`animaux dans la capitale togolaise
Lomé, le 22 janvier 2016. Un centre d`élevage.
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Le ministre de l’agriculture, de la production animale et halieutique Koutéra BATAKA prend part à la 6ème édition de la concertation de haut niveau pour une transhumance transfrontalière, apaisée à Accra au Ghana, du 7 au10 octobre 2019.

Cette rencontre est co-organisée par le gouvernement de la République du Ghana en partenariat avec la Commission de la CEDEAO et la Banque mondiale à l’intention des pays et des acteurs du couloir central comprenant trois Etats sahéliens (Burkina Faso, Mali, Niger) et cinq pays côtiers (Bénin, Côte d’Ivoire, Nigéria et Togo) et se situe dans le cadre de l’institutionnalisation de concertations multi acteurs pour une transhumance apaisée, initiée en partenariat avec les organisations socioprofessionnelles agricoles de la sous-région.

L’objectif de cette réunion est de : (i) faire le bilan de la campagne passée, (ii) de formuler des recommandations pour prévenir les conflits au cours de la campagne à venir, (iii) de discuter des difficultés que rencontrent les pays à activer les plans de contingence en cas de crise et (iv) d’aborder, si nécessaire, divers autres sujets.

Pour rappel, en Afrique de l’Ouest et au Sahel, le système d’élevage est caractérisé par des déplacements saisonniers des troupeaux à la recherche de pâturage et d’eau. Parfois, la transhumance transfrontalière qui caractérise ces mouvements est un phénomène encore mal connu dans son ampleur et sa portée économique, sociale et environnementale. Au cours des dernières années, il lui est de plus en plus associé de nombreux conflits, sources de dégâts matériels et de perte de vies humaines. Cette évolution met à mal la coexistence pacifique entre les populations, notamment entre les éleveurs et les agriculteurs et ne permet pas d’exploiter au mieux le potentiel de ce système d’élevage.

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