Le Togo jouit d’un important vivier de jeunes entrepreneurs toutes catégories confondues. A côté de cet écosystème d’entrepreneurs qui a besoin d’accompagnement pour avancer mieux, des gens s’improvisent ‘mentors’. La porte est ainsi ouverte aux pratiques non conformes à ce système de coaching plus avancé qui veut que des "mentors", généralement des chefs d’entreprises ayant réussi, offrent une prestation de conseil aux jeunes promoteurs. Le Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes (FAIEJ) ne veut plus laisser longtemps cette porte ouverte.
Cet instrument étatique qui accompagne depuis des années les jeunes entrepreneurs, a réfléchi jeudi à Lomé, à ce problème de manque de texte qui régit le domaine de mentorat. De jeunes entrepreneurs, des responsables de cabinets et incubateurs qui accompagnent les jeunes, des associations d’entreprises et structures impliquées ont fait l’état des lieux du mentorat. ... suite de l'article sur Autre presse