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Le salon de coiffure et d’esthétique «Mimilicious» outille diverses patronnes togolaises de salons de coiffure

Publié le samedi 14 decembre 2019  |  aLome.com
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© aLome.com par Dodo Abalo & E. G.
Une formation de deux jours organisée par le salon «Mimilicious» à son siège à Lomé, en collaboration avec le salon de coiffure «l’Abidjanaise»
Lomé, le 11 décembre 2019. Une formation de deux jours organisée par le salon «Mimilicious» à son siège à Lomé, en collaboration avec le salon de coiffure «l’Abidjanaise», a vu la participation d’une vingtaine de femmes, en majorité des patronnes de salons de coiffure.
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Une formation de deux jours organisée par le salon «Mimilicious» à son siège à Lomé, en collaboration avec le salon de coiffure «l’Abidjanaise», a vu la participation d’une vingtaine de femmes mercredi dernier, en majorité des patronnes de salons de coiffure.

Cette formation portait essentiellement sur la pause des ongles gel, les nouveaux types de coiffure comme «le frontal, les closures et le make-up». Le but de cette formation selon les organisateurs était de mettre les esthéticiennes togolaises au même niveau que celui de leurs homologues des pays européens. Et surtout de les amener à migrer davantage «vers ce qui semble naturel pour la préservation de la santé de leurs clientes et clients».

La Germano-togolaise Mimi Hartmann, la promotrice du salon «Mimilicious», s’en défend : «J’organise cette formation pour mettre à niveau dans un premier temps mes sœurs togolaises, et partager mes 29 ans d’expériences au service de la beauté avec elles dans un second temps ! Un sentiment de joie m’anime quand je me rends compte qu’elles sont très réceptives», a-t-elle expliqué.
Tout ce qui concourt à la beauté d’une personne est un art, et dans le cas spécifique de l’esthétique et des tresses, on y apporte des modifications à tout moment, et chaque esthéticienne doit être en mesure de suivre et de respecter les normes de l’heure, détaille cette promotrice chevronnée. Un apport en formation dont se réjouit une stagiaire, Adjo Nyamaku :«J’ai toujours rêvé de cette occasion : elle s’offre à moi tout en étant à Lomé. J’en suis vraiment contente et je remercie Mme Mimi pour tout ce qu’elle a fait pour nous», a confié cette patronne de salon de coiffure venue du quartier Kodjoviakopé.

D. Abalo & Akoyi A.
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