Si L’Observatoire Togolais des Médias (OTM) « condamne avec la dernière rigueur cet acte incivique d’une époque moyenâgeuse et rappelle que le journaliste est libre de faire ses analyses dans l’exercice de sa profession dans le respect strict des opinions et surtout des règles éthiques et déontologiques régissant la profession », il revient sur les griefs portés contre les trois journalistes par le prétendu militant de l’ANC, qui a failli être leur bourreau.
D’après le communiqué de l’OTM qui cite les confrères, « l’individu agresseur leur reproche d’avoir fait des analyses désobligeantes à l’encontre de son leader politique, qualifiant la tenue de sa conférence de presse de ce jour dans un grand hôtel de la Place, de comédie ».
L’Observatoire profite de l’occasion pour demander « instamment aux responsables des formations politiques d’éduquer et de sensibiliser leurs militants sur la liberté d’expression qui veut que le journaliste ne soit pas inquiété ou un ennemi à abattre à cause de ses analyses, opinions ou critiques sur n’importe quel sujet, un leader ou parti politique ». ... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo