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Facebook comme accélérateur des possibles en Afrique francophone

Publié le mercredi 29 janvier 2020  |  RFI
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© Autre presse par Agence 35 Nord
Facebook (facebook.com) a eu le plaisir de recevoir 150 invités lors de l’événement de rentrée `“Focus on Africa” qui a eu lieu le 21 janvier 2020 à Paris.
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Facebook et les pays francophones d’Afrique. L’engouement pour le réseau social américain y a été plus lent que dans les pays anglophones. Le siège parisien du groupe a organisé le 21 janvier un focus sur l’Afrique francophone.

Avec ce focus sur l’Afrique, le réseau social revendique son rôle dans l’éclosion de talents sur le continent, dans différents domaines, selon Kezia Anim-Addo, directrice de la communication de Facebook pour l’Afrique subsaharienne. « Nous voulons bâtir des collectivités et offrir des possibilités. Quand je voyage à travers le continent, j’entends des histoires étonnantes, des gens qui ont démarré une entreprise grâce à Instagram ou à Facebook ou encore des gens qui vendent aujourd’hui leurs produits hors de leurs pays, depuis le Sénégal par exemple. Pour moi, c’est ça Facebook », déclare Kezia Anim-Addo.

Au-delà de la frange de la population qui a accès aux outils numériques, il y a des femmes qui survivent en faisant de petits commerces de manière informelle, des jeunes qui veulent s’en sortir, mais qui n’ont pas de formation et comme d’autres acteurs, Facebook s’intéresse à eux.


« On a créé un programme qui s’appelle boost avec Facebook et l’idée c’était de former 10 000 entrepreneurs, des micro-entrepreneurs ou des TPE [Très petites entreprises] en Afrique subsaharienne et ça avance », assure Aïda Ndiaye, responsable des affaires publiques du groupe en Afrique francophone. Puis d'ajouter : «C’est un programme qui existe aujourd’hui dans 6 pays. C’est important aussi de travailler avec les gouvernements africains, pour essayer de les accompagner dans le développement de cet écosystème. On a besoin de bonnes lois, de bonnes régulations et de s’ouvrir au monde pour pouvoir faire développer les nouvelles technologies».

«On peut créer notre African dream»

Un accompagnement notamment sur l’importance de la connectivité et d’un accès abordable pour tout le monde à l’internet, l’importance aussi de la sécurité des contenus et de la véracité du discours véhiculé, sachant que la formidable ouverture sur le monde que donnent les réseaux sociaux favorise la désinformation. Ces réseaux permettent aussi de changer l’image de l’Afrique, selon Chayet Chiénin, rédactrice et fondatrice de « Nothing but the wax », un média en ligne.

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