Au Togo, 80 à 90% des poissons pris sont transformés. Et le mode de transformation le plus en vue est le fumage. Ce savoir-faire est à mettre à l’actif des femmes fumeuses. Cependant, le mode de fumage étant encore traditionnel, peut être source de maladies graves comme le cancer. Il nuit à la santé des femmes fumeuses et ne protège pas l’environnement.
Comment faire pour améliorer la qualité des poissons transformés, protéger la santé des femmes fumeuses et l’environnement ? Seul le Projet d’appui au secteur agricole (PASA) a la solution. Ce projet a financé la construction de 108 fours améliorés au profit des femmes fumeuses de poissons. Une plateforme référentielle de fumage de produits halieutiques sera aussi construite au profit de l’Union des groupements de femmes transformatrices de poissons (UGFETRAFO).... suite de l'article sur Autre presse