Le premier cas rapporté est un patient de 55 ans tombé malade le 17 novembre 2019 en Chine. Un mois plus tard, le 15 décembre, le nombre de cas se monte à 27.
Le 20 décembre, il est à 60, incluant plusieurs personnes qui, travaillant au marché de gros de fruits de mer de Huanan, sont hospitalisées à l’hôpital de Huanan, dans la région du Hubei, pour pneumopathie. Personne ne sait si les humains se contaminent entre eux, les malades ayant pu être contaminés par une source animale commune. À ce stade déjà, de nombreux observateurs soupçonnent les autorités chinoises d’avoir voulu étouffer la vérité. Le 21 décembre, un kit diagnostic ciblant vingt-deux germes pathogènes respiratoires (dix-huit virus et quatre bactéries) donnant un résultat négatif, les médecins réalisent qu’ils sont en présence d’un nouvel agent pathogène respiratoire.
Le 31 décembre 2019, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est informée de l’existence de nombreux cas de pneumonie d’origine inconnue dans le Wuhan.
Le 6 janvier, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis communiquent sur les risques d’une épidémie.... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo