Le 25 Juillet 2013, tout le Togo a voté pour renouveller son parlement. A cette élection législative, presque toutes les sensibilités politiques du pays ont pris part pour une première fois dans la vie politique du Togo.
Après sa débâcle électorale, l’Union des forces de changement fait son autocritique. Le rôle est donné au président de la jeunesse du parti, Jean Luc Homawoo, de faire le bilan. Selon ce dernier, les raisons de l’échec de son parti sont multiples : Elles sont d’ordre organisationnel. La cohésion n’était pas au rendez-vous et donne quelques raisons
"Le positionnement
des candidats sur la liste a créé beaucoup de mécontents et donc une
démobilisation générale. Au lieu de s’informer et de proposer des
solutions aux problèmes de terrain, les tiraillements pour se
positionner en tête de lice étaient la priorité. Naturellement, notre
communication inexistante depuis la dissidence n’était pas à la hauteur
des défis, il y a donc eu beaucoup de défaillances« , a expliqué M.Jean Luc Homawoo.
Seulement, l’homme se dit fier pour le Togo parce que ceux qui criaient à l’apocalypse, n’ont pas réussi.
« Ces élections législatives que certains vautours malsains de l’opposition ont voulu chaotiques afin de replonger le Togo dans un climat de violence se sont bien passées. Ils n’ont pas réussi leur plan macabre, parce que l’Éternel bénit et bénira toujours le Togo », a indiqué le président de la jeunesse de l’UFC.
En réalité, l’UFC ne dit pas les raisons profondes de son échec. En attendant que Gilchrist Olympio emmuré dans un silence sépulcral depuis son Waterloo électoral, nous donne une explication beaucoup plus inspirée ?