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Gestion de Golfe 5 presque un an après les locales: "Léthargie et inaction", grogne d’un groupe de Conseillers municipaux contre Aboka et son Comité exécutif

Publié le jeudi 25 juin 2020  |  Le Télégramme du Togo
Législatives
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou (Photo d`archive utilisée juste a titre d`illustration et ne correspond pas forcément avec le contenu de l`article)
Législatives 2018: La Cour constitutionnelle publie les résultats définitifs qui consacrent la domination d`UNIR
Lomé, le 31 décembre 2018. CITE OUA. La Cour constitutionnelle publie les résultats définitifs des législatives 2018 qui consacrent la domination d`UNIR sur la 6è législature de la IVè République. UNIR (59 sièges) et UFC (7 sièges) seront les deux principales forces du Parlement, en attendant d`éventuelles alliances politiques. Kossi A. Aboka, nouveau député UNIR.
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Ça chauffe déjà dans la Commune du Golfe 5 ? C’est le titre affirmatif d’une dépêche de nos confrères de Focusinfo.net, que nous reprenons en interrogation.

D’après cette dépêche qui s’inspirerait d’ ""une lettre adressée le 23 juin dernier au maire et à ses adjoints du Golfe 5, une demi-douzaine de conseillers municipaux s’en sont pris à la gestion de l’exécutif de la commune. Ils les ont interpellés sur « la léthargie et l’inaction » dans laquelle est plongée leur circonscription. « Nous constatons d’abord qu’à moins de huit jours de la fin du présent trimestre, le conseil n’a pas été convoqué pour la deuxième session ordinaire de l’année 2020 qui devrait être prévue pour se tenir pendant 15 jours suivant les textes, alors que les urgences et les besoins des populations son écrasants » écrivent les frondeurs.

Ils réfutent l’idée que la pandémie de la COVID-19 puisse servir d’argument à l’exécutif pour justifier la non tenue de la deuxième session, considérant celle-ci comme « l’une des urgences sanitaires qui nécessiterait la mobilisation et les actions du conseil municipal ».
Les signataires qualifient de médiocre la gestion de la pandémie dans leur commune et dénoncent par ailleurs le fait que « les commissions créées ne se réunissent pas malgré l’immensité de la tâche » ou encore que les bureaux des commissions constituent des postes que s’arrogent uniquement la majorité alors qu’elles devraient constituer la cheville ouvrière de la commune.
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