Covid-19 et voyages au Togo/Nouvelles Procédures générales (Officiel)

Publié le mercredi 8 juillet 2020 | AIGE

© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku (Photo d`archive utilisée juste a titre d`illustration et ne correspond pas forcément avec le contenu de l`article)
Inauguration de la nouvelle aérogare de Lomé
Lomé, le 25 avril 2016. Aéroport AIGE. Faure GNASSINGBE inaugure la nouvelle aérogare, en présence de plusieurs opérateurs économiques et officiels divers.

Nous recommandons à tout voyageur en provenance ou à destination de Lomé de souscrire à une assurance médicale ou de voyage lors de l’achat de son billet, s’il ne dispose pas déjà d’une assurance maladie internationale.

Les voyageurs au départ de Lomé doivent se soumettre, 72 heures avant leur départ, à un test PCR COVID-19. Un laboratoire dédié au dépistage des passagers au départ de Lomé, est érigé à l’ancienne aérogare de l’aéroport international Gnassingbé Eyadema de Lomé, pour les tests de dépistage de la COVID-19.

Tous les voyageurs à destination de Lomé doivent se soumettre à un test PCR COVID-19 dès leur arrivée à l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema. Un laboratoire dédié au dépistage des passagers à l’arrivée est érigé à la nouvelle aérogare de l’aéroport international Gnassingbé Eyadema de Lomé pour les tests de dépistage de la COVID-19.

Tous les voyageurs doivent installer, à leur arrivée à l’aéroport international de Lomé, l’application mobile TOGO SAFE, et de la garder active pendant toute la durée de leur séjour ou au moins 30 jours à compter de leur arrivée au Togo.

A défaut de télécharger cette application, les voyageurs à l’arrivée sont soumis à une quatorzaine au sein des structures de suivi mises en place par l’Etat. Les frais qui y sont associés sont à la charge du voyageur.

Les compagnies aériennes s’engagent à modifier sans frais les billets des voyageurs testés positifs et de leurs accompagnants.

Tous les voyageurs autorisés à quitter le Togo doivent respecter les gestes barrières (port d’un cache-nez, maintien d’une distance sociale de 2 m, lavage régulier des mains, etc.) et l’ensemble des mesures restrictives énoncées par le Gouvernement du pays d’accueil.

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