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Devoir de mémoire: Il y a deux ans, Yark opposait une fin de non-recevoir au transfert de Habia pour Accra

Publié le vendredi 2 octobre 2020  |  Le Télégramme du Togo
N.
© aLome.com par Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU
N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo.
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Alors que ses pairs semblent, dans leurs faits et gestes et les discussions enclenchées avec le pouvoir togolais sous l’égide de la CEDEAO, avoir oublié les détenus politiques, il n’avait pas à l’époque hésité à prendre le parti de ces personnes qui les ont suivi dans la rue pour réclamer le départ de Faure Gnassingbé et plus de démocratie au Togo. Et de quelle manière ? En décidant d’observer une grève de la faim pour réclamer la libération de ces jeunes gens hommes et femmes jetés en prison depuis le début des manifestations publiques organisées par la C14 (Coalition des 14) dont son parti, Les Démocrates, était membre, à la suite de celle du PNP du 19 Août 2017. Lui c’est l’ancien député UFC, Nicodème Ayao Habia. Une action qui lui a valu des noms de toutes sortes dont ceux de comédien.

Le 02 Octobre 2018 – 02 Octobre 2020, par un devoir de mémoire, on s’en souvient encore qu’après deux semaines de grève de la fin (grève entamée le 17 Septembre 2018), et finalement à la suite d’une intervention des parlementaires togolais et des membres du front citoyen “Togo debout” qui a finalement accepté rompre sa grève pour suivre des soins au Ghana voisin, après un bref détour à la Clinique Biasa, verra son transfert être bloqué par les autorités togolaises et en premier chef, le ministre de la Sécurité, pour dit-on absence de quitus de l’Etat.
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