L’AFRICA CEO FORUM, en partenariat avec la Société financière internationale (IFC), prolonge son engagement pour la promotion du leadership féminin à l’occasion de la troisième édition du Summit de l’initiative Women Working for Change (WFC), en version entièrement digitale.
300 dirigeantes africaines de haut niveau débattront des conséquences de la crise sanitaire sur le secteur privé au cours d’une journée composée de panels de haut niveau, de keynotes inspirantes, d’ateliers pratiques et de sessions networking.
Initié par l’AFRICA CEO FORUM, la troisième édition du Summit réunira le 24 novembre prochain, en version entièrement digitale, 300 grandes dirigeantes africaines pour échanger autour du thème : Penser demain, changer aujourd’hui.
La crise du Covid peut-elle briser l’élan qui a vu, depuis le début du siècle, les femmes africaines s’imposer peu à peu aux plus hautes fonctions ? Représentent-t-telle une opportunité pour les entreprises de repartir sur la base d’une croissance plus durable ? Quels secteurs d’activité en sortiront gagnants ?
Autour des plus grandes figures féminines que compte aujourd’hui le continent, au premier rang desquelles Stephanie Von Friedeburg, directrice générale intérimaire de l’IFC, Daphne Mashile-Nkosi, présidente exécutive de Kalagadi Manganese et présidente de l’initiative Women Working for Change, Ibukun Awosika, Présidente de First Bank Nigeria, Graça Machel, fondatrice de Graça Machel Trust, et bien d’autres, les participantes débattront des conséquences de la crise sanitaire sur le secteur privé africain mais aussi de leur rôle dans le monde d’après.
«A l’heure où l’Afrique va connaître une récession économique historique, les femmes leaders du continent doivent contribuer à enrichir la discussion sur les défis du monde à venir et penser les actions à mener pour donner aux femmes la place qui leur est due dans la conduite des changements», commente Amir Ben Yahmed, fondateur et président de l’AFRICA CEO FORUM.
«L'IFC considère l'égalité des genres comme un impératif social et moral - ainsi qu'une nécessité économique. La crise du COVID-19 a mis en exergue les forces et les faiblesses des économies des pays en développement et pousse à la réflexion.
Notamment sur les moyens à mettre en œuvre pour tendre vers des économies plus résilientes et inclusives. Les stratégies de relance post-COVID doivent s'atteler en priorité à soutenir les femmes du secteur privé, qu'elles soient entrepreneurs, managers, membres de conseils d'administration ou cheffes d’entreprises», conclut Jumoke Jagun-Dokunmu, directeur régional de la SFI pour l'Afrique de l'Est.