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Togo: 48 associations de femmes réclament Adjamagbo au procureur

Publié le vendredi 4 decembre 2020  |  Togo Breaking News
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© aLome.com par Edem Gadegbeku & J. Tchakou
Instruction de l’affaire de la DMK: B. Adjamagbo-Johnson entendue pendant 4h d’horloge ce 14 juillet par le Tribunal de Lomé
Tribunal de Lomé, ce 14 juillet. Instruction de l’affaire de la DMK: B. Adjamagbo-Johnson entendue pendant 4h d’horloge par le Tribunal de Lomé. Kafui Adjamagbo-Johnson de la DMK (Dynamique Monseigneur Kpodzro) s’est rendue chez le doyen des juges d’instruction ce 14 juillet. Une démarche qui se situait dans le cadre de la suite de la procédure judiciaire ouverte à l’encontre de 4 leaders de la DMK depuis le 24 avril dernier, pour avoir contesté publiquement les résultats du scrutin présidentiel du 22 février 2020. Mme Adjamagbo-Johnson
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Les organisations de défense des droits de l’homme passent à l’acte. Après avoir condamné l’arrestation de Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, 48 associations constituant l’Organisation de défense des droits de femmes viennent de saisir Essolissam Poyodi. Elles sollicitent le procureur de la République auprès du tribunal de Lomé à organiser une rencontre pour s’expliquer sur les charges retenues contre la secrétaire générale de la CDPA.

Dans un courrier en date du 1er décembre, les organisations de défense des droits de femmes se sont interrogées sur les éléments qui ont conduit à l’arrestation de Mme Adjamagbo-Johnson étant donné qu’elle est une personnalité dotée d’une bonne moralité et d’une intégrité.

Pour les femmes, si l’accusation de tentative de déstabilisation des institutions de la République et d’atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat était vérifiée, la coordinatrice de la DMK ne prendrait pas le risque de se rendre au SCRIC pour visiter Gérard Djossou, son compagnon de lutte arrêté pour les mêmes charges.

Dans le même temps, Noussoessi Aguey, secrétaire générale du GF2D, Antoinette Dadjo-Bale, présidente de Wildaf-Togo et leurs collègues demandent pourquoi les autorités judiciaires après avoir refusé le droit de visite à Mme Adjamagbo-Johnson, le lui accordent pour ensuite commencer par l’interroger et aller fouiller dans son domicile.
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