Porté par le Cabinet ‘la Synergie’ et l’association ‘Terreau Fertile’, le programme dénommé «les 300» se veut non seulement être créateur de 300 mille emplois, mais une réponse favorable à la rentabilité et solvabilité, contribuant à positionner les entreprises togolaises sur les standards internationaux.
Ce programme très ambitieux, qui s’étendra sur les dix prochaines années (2021-2030), a été officiellement lancé ce mercredi 23 décembre à Lomé par les premiers responsables du Cabinet précité et l’association ‘Terreau Fertile’. Il s’agit pour les porteurs de ce projet de favoriser le meilleur positionnement de 300 entreprises à travers un programme d’accompagnement technique et financier. Ceci en répondant aux difficultés liées à la gestion et au financement des entreprises au Togo, et en renforçant l’écosystème entrepreneurial au Togo via la création d’emplois.
Au terme de ce projet, il est attendu la création de plus de 300 mille empois au Togo. Selon Ayawo Philippe Awaga, Directeur-Associé du cabinet Synergie, le programme «les 300» entend «accompagner trois cent TPE/PME ( Très petites entreprises et les Petites et moyennes entreprises) à mieux se structurer, à renforcer leurs capacités et éligibilités aux financements».
Les trois cents unités de production bénéficieront d’une formation technique et théorique directe, du coaching pratique pour comprendre et mieux maîtriser les aspects de la gestion d’une entreprise et comment mettre place une structure solide, viable et rentable. Une somme de formations qui permettront de renforcer le tissu économique du pays et contribuer aux atteintes du PND lancé par le gouvernement togolais.
Pour cette première formation, le programme est ouvert exclusivement aux jeunes entreprises et start-ups d’au moins trois (03) ans d’âge souhaitant développer, pérenniser leurs produit/services et innovations, et consolider leur positionnement pour rester compétitifs sur le marché et apporter une plus-value à l’économie togolaise.
L’agriculture constitue le premier secteur privilégié par les formateurs. Toutefois, les secteurs liés aux nouvelles technologies, la mode, la logistique et les infrastructures seront tout autant privilégiés.