Lorsque presque tous les jours, nous martelons l’impératif pour nos dirigeants de veiller à contenir la communication gouvernementale, des gens ont tendance à penser que c’est par simple caprices.
En réalité, c’est parce que nous avons une conscience claire et précise de l’impact négatif que les failles et les incohérences dans les actions ou dans la simple communication gouvernementale laissent sur les citoyens.
Le dossier brûlant du petrolegate vient justement corroborer notre position.
En effet, en fin de semaine dernière, le ministre des droits de l’homme, par ailleurs porte-parole du gouvernement, a pris sur lui de crever l’abcès et de révéler certains éléments intéressants dans ce dossier.
Alors que depuis des semaines, un rapport d’audit circule un peu partout dans les journaux et sur les réseaux sociaux, confirmant des malversations graves dans les procédures de commande, d’achat et de distribution des produits pétroliers dans notre pays, le Ministre Trimua affirme que ce rapport comporte des creux et est établi sans un aucun respect du principe sacrosaint du contradictoire. ... suite de l'article sur Autre presse