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Affaire Thomas Sankara : Ce que pense Pasteur Edoh Komi du procès en vue contre Blaise Compaoré

Publié le vendredi 16 avril 2021  |  icilome
Célébration
© aLome.com par Edem Gadegbeku & K. Tchakou
Célébration du ‘Martin Luther King Jr Day’ au Togo en 2021 par le Mouvement MMLK
Lomé, le 18 janvier 2021. Site de la Foire de Togo 2000. Célébration du ‘Martin Luther King Jr Day’ au Togo en 2021 par le Mouvement MMLK: appel lancé pour plus d’engagement des Togolais sur des causes citoyennes. Pasteur Komi Edoh.
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Le 15 octobre 1987, le capitaine Thomas Sankara, ancien chef d’État du Burkina Faso, est mort assassiné à Ouagadougou. Près de 34 ans après, le tribunal militaire de Ouagadougou décide de la mise en accusation de son successeur, Blaise Compaoré (militaire également), pour attentat à la sureté de l’État, complicité d’assassinat et recel de cadavres dans le dossier de l’assassinat du chef de la révolution burkinabè. L’acteur de la société civile, le Pasteur Edoh Kossi Komi, président du mouvement Martin Luther King (MMLK), dans ce qu’il appelle « Tribune sans tabou », pointe du doigt accusateur la responsabilité de la France dans le meurtre de Thomas Sankara et pense que ce procès en vue contre Blaise Compaoré doit servir de leçon aux dirigeants africains. Lecture !

TRIBUNE SANS TABOU

MORT DE THOMAS SANKARA : SILENCE, ON TUE AU BURKINA ET LES DOSSIERS SONT GARDÉS SECRETS EN FRANCE

BLAISE COMPAORÉ RATTRAPÉ PAR LA JUSTICE

Le chantre de la révolution du pays des hommes intègres a été assassiné lâchement et froidement le 15 octobre 1987 par des ennemis de l’Afrique. Au rang de ces derniers, figurerait sans doute le pays occidental souvent reconnu comme le commanditaire de tous les coups d’État contre les pères panafricanistes des indépendances.

À la manœuvre comme l’auteur présumé de cet assassinat un certain Blaise Compaoré recherché aujourd’hui par la justice Burkinabè pour répondre de ses actes. Que ceux qui gouvernent en Afrique apprennent de ce procès qui se profile à l’horizon et d’autres qui ont déjà eu lieu !
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