Togo : Le réseau RAFAD mobilise des acteurs pour accroître l’efficacité des femmes aux instances de décision

Publié le vendredi 13 aout 2021 | Societe civile Media

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Symbole de justice

A Kara, une vingtaine d’acteurs venus de cinq communes du Togo, ont, les 11 et 12 août, échangé et partagé leurs expériences sur l’importance de la participation des femmes à la gouvernance locale. Initiative du Réseau des Associations de Femmes en Action pour le Développement (RAFAD), la rencontre se situe dans le cadre de la mise en œuvre du Projet de « Renforcement du leadership féminin pour une gouvernance locale participative et équilibrée dans la ville de Kara » lancé en janvier 2021.

Le projet de l’ONG RAFAD, il faut le rappeler, entend outiller les femmes à travers des rencontres de renforcement de capacités, afin qu’elles puissent se donner les moyens d’accéder aux postes de prise de décision dans leurs communautés en tant qu’actrices de développement au même titre que les hommes.

A travers cette activités de deux jours, qui a réuni des acteurs, notamment des femmes des communes Tône I, Binah I, Bassar I, Tchaoudjo I et Zio I, il s’agissait pour RAFAD de promouvoir un cadre de concertation et de partage des expériences institutionnelles, pratiques et personnelles entre les acteurs communaux et le RAFAD pour accroître l’efficacité des femmes aux instances de décision.

La rencontre a également permis de partager avec les participants les acquis de la commune Kozah I en matière de gouvernance participative. Un partage d’expérience dont la finalité est de les amener à définir des stratégies pertinentes favorisant la participation de la femme dans la gestion des affaires publiques.

Par ailleurs, la situation de la femme dans les instances de prise de décision des communes Kozah I, Tône I et Zio I a été présenté par leurs représentants. D’après Tchamdja Amida Lokou, Coordinatrice du RAFAD, un plan adapté aux réalités des communes invitées a été élaboré afin d’entreprendre des actions concrètes pour une gouvernance locale participative.

«Les participants ont partagé leurs expériences pour que chacun puisse tirer profit de l’expérience de l’autre, afin d’améliorer la vie communale», explique Mme Lokou. ... suite de l'article sur Autre presse

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