Depuis l’arrestation de plusieurs journalistes togolais puis de l’activiste Fovi Katakou, les réactions s’enchaînent. Partis politiques, organisations de la société civile, tous demandent leur libération. Même la conférence des évêques s’est émue, plaidant la cause de toutes ces personnes.
En plus des partis politiques de l’opposition, plusieurs organisations de la société civile ont fait part de leur consternation : le mouvement du 5 octobre par exemple, ou le mouvement Nubuéke, dont est membre Fovi Katakou. Edou Kossi aidait Fovi Katakou dans ses activités. Il se dit sous le choc mais affirme que son organisation ne baissera pas les bras et continuera ses actions de mobilisation.
« Fovi Katakou est handicapé physique. Il ne fait pas de mouvements sans assistance. Quand on dit que ça ne va pas au Togo : regardez le pays dans lequel nous sommes ! Tous les biens publics sont privatisés ! Et on dit qu’il incite le peuple à la révolte... »... suite de l'article sur RFI